Les accros au sexe sur le Net

Publié le par jacky gautier

eros 1.jpg La consultation de sites à caractère pornographique

est une activité très prisée des internautes américains d'après une étude réalisée par la société Netvalue (citéé sur Doctissimo.com) accros à sexe sur Internet sont nommés dans les pays anglo-saxons sous le terme de "compulsifs au cybersexe". Mais ce comportement répété, quasi-ritualisé, compulsif, presque irrépressible à consulter des sites de sexe ne cacherait-il pas des troubles importants de la personnalité plus graves que nous voudrait le laisser entendre la description comportementale de l'enquête? La question est de savoir s'il existe plusieurs profils d'addictés au sexe sur le web. Est-ce une forme moderne de voyeurisme? d'exhibisionnisme gratuit?

Publié dans accroweb

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V
Bonjour, <br /> Merci pour cet article mais je n'aime pas trop le terme "accro". L'addiction sexuelle est à distinguer de la nymphomanie, qui en est seulement un des symptômes cliniques. Notons aussi que le porno a toujours été à la tête des nouveautés technologiques, aujourd'hui le sexe virtuel 3D par exemple... :)
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Z
Le cybersexe est-il la nouvelle héroïne du net? A en croire certaines études nord-américaines, 1% des internautes des USA seraient accros au cybersexe. Sans tomber dans la démesure, certains internautes deviendraient réellement accros au sexe "virtuel" sur internet. Mais faut-il considérer cette nouvelle forme de recherche d'informations sur la sexualité comme une variante du voyeurisme? D'une forme pathologique de la sexualité? Internet ne permettrait-il pas tout simplement d'aller au plus près des fantasmes humains?
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F
ha.... ben vive le sexe pour moi le sexe c'est se faire du bien ou nous fair du bien et aussi on peu matter du sexe comme les film x par exemple sinon j'ai rien d'autre a dir
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J
Il est vrai que le blog, tout neuf, traite d'un sujet particulièrement délicat. Le cybersexe est le spectre des fantômes anciens du mythe du tabou qui touche aux déviances de la sexualité. En effet, les pratiques sexuelles véhiculées ou découlant de l'Internet peuvent paraitrent déviantes, anormales ou fantasques si l'on reste dans une conception normaliste. Je dois dire que j'ai quelque doute sur la fréquentation des internautes accros au sexe sur le blog. Mais qui sait: qui ne tente rien, n'a rien.
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I
Hi hi ... pas beaucoup de réponses, ça doit être un sujet tabou de reconnaitre de prendre plaisir à se rincer l'oeil où à s'exhiber sur le net ... pis sûrement honteux pour certains de l'avouer, sans passer pour un malade, vu le sujet de l'article, qu'ils y passent des heures à se délecter ! lol
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